Tiré d'une photo "pleine page" du livre "Le jouet en bois" de M. BURCKHARDT (lien : Les jouets en bois)

Commentaire de la photo page 49 :

Cavalier , jouet animé, Allemagne, TH. WINDE (1886-1965) Collection particuliére. Curieux cavalier en armure sur son cheval.

N.B. La photo de mon jouet,  prise sous le même angle que celle du livre ne permet pas bien (hélas) de déterminer les dimensions relatives. Ce jouet en bois est "brut de scie" mais tellement curieux !!!

 Les infos du livre :

Cavalier, jouet animé, Allemagne, Th. Winde (1886-1965)

Les problèmes que l'on peut se poser :

1) Ce cheval avait-il des pattes ?

2) Qu'est-ce qui bouge ?

  Il y a deux mouvements indépendants commandés par les axes des roues

  - La tête du cheval bouge, c'est certain.
  -  j'ai  choisi de mettre une queue mobile indépendamment de la tête.
  - Les bras sont mobiles.

Et quand il bouge ? il fait comment ?

Notez le mouvement des bras qui accompagne la tête.

N.B. l'arrière est bien entendu totalement imaginé.

Attention, cette vidéo marche mal. La suivante marche très bien

 JUIN 2014 : NOUVELLE IMPORTANTE

Je viens de dénicher, dans un site fraichement trouvé, une photo prise de coté du même jouet comme neuf.

La différence est trés amusante, il ne reste plus qu'à mettre mon cavalier à jour.

Le texte est certainement trés interessant, mais je ne connais pas l'allemand. On sait maintenant qu'il date de 1930.

Cavalier tout neuf

  N.B. le temps passe.... et le site à disparu hélas !!!   (juillet 2017)  

Mais on le trouve aussi(ouf)  dans l'ouvrage "An illustrated History of Toys" (L170) planche 15

 Le cheval n'a donc pas de patte, mais bravo la criniere et la queue, et le cavalier quel panache !!!

Et voila notre chevalier "à jour" (avec une belle queue en plus)

Et maintenant, en route :

 
Chevalier teuton 1930 par LETAGE

Complément septembre 2021 :

On trouve cette illustration dans l'ouvrage allemand "jouets en bois de l’ERZGEBIRGE" page 114

Notre cheval a maintenant une crinière et des pattes , de mieux en mieux !!!

voir ici :

Manfred BACHMANN  

page 114

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